Photos © Saby Maviel
Par Marc Polisson
Installé depuis 16 ans à Lyon, l’avocat pénaliste haut-savoyard a été élevé au grade chevalier dans l’ordre national du Mérite dans les salons de l’Abbaye de Collonges.
« Tu es le contraire de la froideur ! » Cette remarque de son parrain le bâtonnier Philippe Meysonnier résume parfaitement le caractère de Christophe Cottet-Bretonnier. Des courts de tennis aux cours d’appel, ce grand gaillard de 44 ans, « a choisi le plus noble des métiers » selon la formule de Voltaire après une incursion remarquée dans le monde sportif. Papa de deux jeunes filles Doriane et Charlotte, il a appris l’éthique de sportif et d’avocat aux côtés de plusieurs mentors dont le général Bernard Ratel, présent à la cérémonie où 130 invités étaient réunis. Remarqué pour sa défense de Toni Musulin, dont il a fait le robin des bois des temps modernes, Christophe Cottet-Bretonnier consacre son temps entre ses cabinets de Lyon et d’Annemasse. C’est Gérard Collomb qui lui a appris sa nomination à l’ordre national du Mérite par téléphone. L’heureux récipiendaire a tenu à partager sa distinction avec ses parents, ses filles et leur maman, et ses collaborateurs. Des hommages touchants dans le cadre d’un discours émouvant qui ont conféré à cette cérémonie – très souvent protocolaire – une ambiance particulière. En mode mezzo-soprano….
La projection diapos, c’est maintenant !