Texte : Marco Polisson – (Mis à jour le 2 juillet) Le centre-ville de Lyon a connu une nouvelle nuit d’émeutes provoquées par les militants d’extrême gauche alliés aux jeunes des banlieues.
Lyon ville des confluences politiques et opportunistes. C’est le spectacle auquel ont assisté les rares lyonnais ayant osé s’aventurer en Presqu’île. A l’appel des mouvements d’extrême gauche, plusieurs centaines de personnes ont organisé une manifestation sauvage qui a démarré des Terreaux pour descendre sur la presqu’île.

Les boutiques de luxe de la galerie du Sofitel ont été dévalisées
Rue de la République, rue Édouard Herriot et rue de Brest, ils ont pu évoluer avec dextérité et détermination face à des policiers très souvent statiques et inefficaces. Présents sur le terrain, nous avons pu observer de près les différents groupes en mouvement narguer et insulter les policiers du RAID et de la BAC qui ont procédé à une trentaine d’interpellations.
Pillages place cordeliers #lyon #Emeute #courir pic.twitter.com/VYZBBthk9c
— flash696 (@Ss_6931) June 30, 2023
Nous avons pu distinguer deux types de casseurs en action
Le premier groupe a les mêmes codes vestimentaires et militants des activistes d’extrême gauche qui ont mis Lyon à feu et à sang lors des manifestations contre la réforme des retraites, notamment le 1er mai. En tenue noire, masques sur le nez, ils ont principalement incendié le mobilier urbain et attaqué les banques. Puis signé leurs méfaits avec le tag des Soulèvements de la terre.
Dans leur sillage, plusieurs bandes venues en voitures des banlieues lyonnaises profiter de l’effet d’aubaine avec deux objectifs : casser du flic et faire du shopping. Ces hordes de jeunes masqués ont entrepris le saccage et le pillage des boutiques du centre-ville, incendiant des poubelles et du mobilier urbain. A Bellecour et à Hôtel de Ville, ils ont fait usage de mortiers d’artifice.
Dans le même temps, place au shopping
Sous nos yeux, nous avons assisté au pillage de plusieurs boutiques, notamment Graphiti, les casseurs repartant les bras chargés de vêtements avant d’être récupérés par des complices en voitures garés dans des rues adjacentes et sur l’axe Nord-Sud. Les coffres chargés du précieux butin, direction la banlieue.
Idem pour le Monoprix des Cordeliers dont l’entrée, défoncée, a été défendue par un homme d’une soixantaine d’années qui a tenu tête aux casseurs qui ont alors contourné le magasin pour casser une seconde porte et descendre au sous-sol. Et de remonter des packs de bière, des alcools…. devant deux employés apeurés. Présents rue de la république, à 100 mètres, les policiers ont laissé faire…
Les pillages ne se sont pas limités à la seule Presqu’île. A l’heure de faire les comptes, on a ainsi appris qu’une bande de banlieue avait frappé l’avenue Jean Jaurès. La concession Yamaha Alexis Motos a été cambriolée Plus tard dans la nuit, à Villeurbanne, d’autres individus ont pénétré par effraction dans la concession automobile de Richard Drevet, et sont repartis au volant de 5 véhicules qui étaient vendus…
Mise à jour du 7 juillet 2023
On a appris en milieu de semaine que Grégory Doucet avait interdit à la Police Municipale d’intervenir pour surveiller les commerces pillés. Nous reviendrons sur cette nouvelle polémique.
PREMIER INVENTAIRE DES BOUTIQUES PILLEES A LYON
Attaque du Monoprix des Cordeliers
Le rez-de-chaussée du grand magasin a été pillé
Présents à une centaine de mètres, les policiers ne sont pas intervenus pour protéger le magasin
Foot Locker, rue de la République
Boutique Offshoes, rue de la République
Courir, 32, rue de la République
Pillage intégral de la boutique
De nombreux heurts, place de la République
Grand Optical, place de la République
Kiko, 63, rue de la République
JD Sport, au 62, rue de la république
Rituals, 64, rue de la République
Les boutiques Maier sous haute surveillance, rue Edouard Herriot
Les CRS sécurisent la place des Jacobins
Zara, angle Grenette – Edouard Herriot
Fossil, 48, rue Edouard Herriot
Lydo, 42, rue Edouard Herriot
Voiture renversée rue Gasparin
Boutique Graphiti pillée, rue Edouard Herriot
Un pilleur de Graphiti attendant d’être récupéré avec son butin à l’angle de la rue du Bat d’Argent et du quai Jean Moulin
Les dégâts visibles samedi matin
Rue Emile Zola

Boutique Colmar, rue Jean de Tournes
cela se passe de commentaires pour la sociologie des pilleurs…. mais, bien sûr, en dire plus serait être un vilain extrémiste de droite… pauvre France. !
Un país se respeta…si vives en el…completamente indignada
L’état laisse faire !!! Complice…! Nous ne sommes pas un pays du tiers monde…!!!!!
à signaler un magasin de motos, située avenue de Saxe, qui a entièrement brulée. Je vous laisse imaginer si le feu avait entièrement pris dans les étages supérieurs ?
Nos édiles vont devoir rendre des comptes car la priorité n’est pas de faire des pistes cyclables et autres chantiers fantômes…. La priorité est la SÉCURITÉ et la PROPRIÉTÉ pauvre ville qui se paupérise depuis l’arrivée des écologistes qui font tout pour que la capitale des gaules devienne la 1ere pour l’insécurité la 1ere pour les embouteillages la 1ere pour la saleté la 1ere pour les dégradations des biens privés et publics et bien entendu la 1ere pour la gabegie vélocipèdiste
heee oui la France est à genou… bientôt à terre définitivement.
des milliers de cellules terroristes rien que sur le grand Lyon le KO!
Parce que cela c’est du terrorisme déguisé !
les forces de sécurité intérieure ne peuvent même pas faire usage de leurs capacités de
Le dernier recours pour ce pays un militaire de haut rang .
Constat : prison à ras bord à la limite de l’implosion…
Action : remettre la peine de mort en place…etc
heee oui la France est à genou… bientôt à terre définitivement.
des milliers de cellules terroristes rien que sur le grand Lyon le KO!
Parce que cela c’est du terrorisme déguisé !
les forces de sécurité intérieure ne peuvent même pas faire usage de leurs capacités de
Le dernier recours pour ce pays un militaire de haut rang .
Constat : prison à ras bord à la limite de l’implosion…
Action : remettre la peine de mort en place…etc