Texte : Marco Polisson – Les écologistes poursuivent la mise en œuvre de leur politique expérimentale de paupérisation et de saccage du centre-ville de Lyon.

A chaque semaine son installation cheap. Dans la droite ligne des pissotières ehxibos du début de mandat, après le jardin d’enfants de la rive droite, le mobilier d’aire d’autoroute des Cordeliers (ci-dessous) et l’étendage de la place Bellecour déjà vandalisés, voilà que des bancs en forme de crottes géantes viennent d’être posés rue de la République, colonne vertébrale de la presqu’île interdite.

Côté Cordeliers, la perspective du palais de la bourse est polluée par des installations de type parc d’attraction

S’il ne s’agissait pas d’argent public, on en rirait…

Depuis sa piétonisation forcée mise en place avec la Zone de Traffic Limité, la partie nord de l’ancienne rue impériale (sic) reconvertie en rue des fast-foods est soumise à tous les caprices urbanistiques du petit Grégory et de ses élus écolos LFI qui, vous vous en doutez, n’ont pas fait l’école du Louvre.

Il y a un mois, les Lyonnais ont découvert la rue bunkerisée, entravée par des blocs de granit et le sol lacéré de marquages blancs… La seconde phase est encore plus drolatique : des bancs en forme de boudins blancs, dixit Lyon Mag, ou de serpentins, pour Actu Lyon, occupent désormais la rue à hauteur du palais de la Bourse.

Des quolibets à la selle !

« Seront-ils enlevés lors des grands évènements comme la Fête des Lumières où les rues de Lyon sont noires de monde ? » s’interroge Lyon Mag. Précision intéressante, Actu Lyon nous apprend que ces colombins géants ont été coulés en Espagne. Ont-ils fait le voyage en vélo cargo ? On est curieux de connaître leur bilan carbone.

Sur les réseaux sociaux, ils font déjà l’objet de quolibets bien sentis que la décence nous empêche de reproduire ici. Bouchez-vous le nez quand vous les traversez.