Texte : Camille Massé – Les travaux n’en finissent plus en Presqu’île… et certains recommencent ! L’amateurisme des écologistes est sans limite.
Après la rue Grenette et la rue Émile Zola, situées à quelques encablures, c’est au tour de la rue de l’Ancienne Préfecture de subir un nouveau coup du sort en étant à nouveau éventrée… après avoir tout juste été inaugurée !
Le président de la Métropole, Bruno Bernard, réjoui, l’avait pourtant annoncé il y a quatre jours sur X : cette rue – bien de l’Ancienne Préfecture et non de la Préfecture comme indiqué sur son post -, en travaux depuis des mois, est dorénavant un « espace piéton apaisé et commerçant ».
Une campagne de travaux précipitée
Sauf que problème… Si l’on se promène aujourd’hui dans la rue, le bilan est plutôt… surprenant. Et ni apaisé ni confortable. Car cet aménagement flambant neuf a déjà été détruit, notamment devant le bar Le Big, qui a perdu 30% de sa clientèle tandis que la Ville gaspille à nouveau de l’argent public.
Les barrières de travaux et les trous ont ainsi fait leur grand retour sur les trottoirs, déjà élargis et recouverts d’un nouveau revêtement. Le tout accompagné du bruit et de la poussière. Ces énièmes travaux de voirie ne semblent avoir ni queue ni tête, et surtout, pas de fin.
Depuis le lancement des travaux de fermeture de la Presqu’île, la situation s’éternise, pour le malheur des principaux concernés, habitants et professionnels, dont les doléances sont portées par le Collectif des Défenseurs de Lyon. Plus de trente chantiers paralysent actuellement le centre ville.
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