La disparition d’Henry Bailly

30 janvier, 2012 | LES GENS | 2 commentaires

 

henri_bailly.jpg Henry Bailly et Gérard Collomb aux obsèques de Francisque Collomb en 2009 – Photo © Fabrice Schiff

L’ancien directeur de cabinet de Francisque Collomb est décédé chez lui d’une crise cardiaque ce vendredi 27 janvier 2012. Chevalier dans l’Ordre National dui Mérite, il avait 89 ans. Henry Bailly est né le 8 février 1923. Il a fait une longue carrière dans la Police, à Lyon, au sein des Services des Renseignements Généraux. En 1977, retraité, Henri Bailly devient directeur de cabinet et conseiller particulier de Francisque Collomb. A cela s’ajoute la fonction d’assistant parlementaire du sénateur qu’est le maire de Lyon. « Il a donc fortement participé à l’évolution de Lyon aux côtés de Francisque » souligne le journaliste Maurice Fusier. Après la défaite de Francisque Collomb en 1989 et son départ de la mairie, Henry Bailly restera son confident et fidèle ami jusqu’à son décès en 2009. Il a vécu toute sa vie avec Léo, son épouse, qui reste seule aujourd’hui. Il a été inhumé mardi 31 janvier 2012 à l’issue de la messe de funérailles célébrée en la basilique d’Ainay à 10h30.

 

 

 

 

 

 

 

2 Commentaires

  1. thierry

    Henry était aussi un homme de coeur toujours près à rendre service, c’était un homme de coeur. Lyon c’était ça ville, il en connaissait les moindres recoins, il sufisait de faire un tour avec lui et cela devenais une balade touristique. Il adorai inviter généreusement ses amis, il étais remplis d’humour, il disait : moi ce que je veux c’est mourir en bonne santée c’est chose faite. Il me disait : si la haut c’est pas trop mal je te pistonnerai. Il était mon oncle, mon parrain il était devenu mon copain. Thierry

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  2. Thierry

    Henry était le confident de beaucoup d’hommes notament du cardinal decourtray il était née aussi en 23 c’était son pote comme il me disait il aimai discuté avec lui et se raconter leur histoire d’avant leur carrières respective, il est resté à ses coté jusqu’a sa mort en 94. Dans les moments ou on était juste tout les deux il en profitait pour me parler de tout et de rien comme si le temps était compté, comme s’il savait que sont temps arrivait bientôt à therme. Nous avions 41 ans d’écart et pourtant je le trouvais tres dans le vent comme il disait en parlant de sa cravate avec ironie.

    Réponse

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