Photo © Saby Maviel
Chaque mois, un illustre représentant du monde sportif s'allonge sur le divan de l'infirmier Barth, ancien interné des hôpitaux de Lyon qui délaisse caméras et micros pour enfiler blouse blanche et stéthoscope. L'entraîneur adjoint de l'OL Christophe Galtier se prête au jeu ce mois-ci sur le divan d'Iceo.
Christophe, qu'est-ce que tu fais quand tu ne fais rien ?
C'est difficile pour moi de ne rien faire, d'ailleurs il n'y a rien de plus ennuyeux que de ne rien faire ! Bref, le peu de fois que ça m'arrive, je m'enferme chez moi et je range mon appart !
Si tu devais résumer Lyon depuis ton arrivée en juillet ?
(Il réfléchit) Il fait bon y vivre.
Le football c'est ton domaine, qu'est-ce que tu ne supportes pas dans ce milieu ?
L'incompétence !
Qu'est-ce que tu préfères ?
Être avec les joueurs, le staff, toutes ces relations, c'est vraiment formidable. Les échanges, les remarques, quand c'est fait avec beaucoup d'intelligence, c'est vraiment très intéressant.
Maintenant parlons de ton corps, qu'est-ce que tu aimes le moins ?
Mes mains ! (rires) Mes ongles sont rongés, mes doigts sont laids, vraiment je n'aime pas !
Qu'est ce qui te fait fuir chez une fille ?
Les filles qui ne prennent pas soin d'elles, celles qui ont oublié ce que le mot féminité voulait dire. J'aime les femmes coquettes et féminines, c'est comme ça.
Ton dernier texto c'était pour qui ? Et quel était son contenu ?
A ma femme : « tu me manques, je t'aime », et j'ai signé l'homme invisible.
Qu'est-ce que tu aimerais changer en toi ?
Mes excès de tolérance vers les gens.
Ça t'a déjà coûté cher ?
Oui ! (et de manière ferme)
Qu'est-ce qui te rend heureux ?
Ma femme et mon métier.
Si tu n'avais pas fait une carrière dans le foot, tu aurais aimé faire quel genre de métier ?
Je sais que ça va te surprendre, mais j'aurais aimé être commissaire de police.
Mais pour traiter quel genre d'affaires ?
Les mœurs !
Est-ce que tu as peur de la mort ?
Franchement, non. Et je crois que la vie ne s'arrête pas comme ça et qu'il y a quelque chose après.
C'est quoi une belle mort pour toi ?
Partir en une fraction de seconde.
Tu te souviens de ton premier amour ?
Très bien, c'était au collège, j'avais une dizaine d'années, elle s'appelait Nathalie.
Si tu la croisais aujourd'hui ?
Je me souviens très bien de son visage. Maintenant, avec toutes les années je ne sais pas si on se reconnaîtrait…
Pour revenir à ton corps, qu'est-ce que tu préfères ?
Mes yeux et mon regard (pensif).
Quel est ton rapport à l'argent ?
Je pense qu'il est normal, je connais la valeur de l'argent et je suis vraiment terre-à-terre avec le fric. Lorsque je dépense c'est quasiment toujours pour offrir.
Qu'est-ce que Alain Perrin va te dire en lisant cette interview ?
Que je suis un gros menteur (rires).
Maintenant à toi de me poser une question ?
Dis-moi Bath, pourquoi tu travailles pas avec un dictaphone (rire général).
Bonjour Christophe, je suis à la recherche des copains d’enfance de mon fils Jimmy dont Jordan et Enzo en faisaient parti de 1992 à 1996 à l’époque les petits habitaient avec leur maman Cathy sur Avignon, Pour Jimmy je voudrais regrouper ses copains d’enfance, après une dure épreuve de la vie qu’il vient de subir l’enfance lui est revenue en tête et m’a dit gentillement dit mes copains copines d’école maternelle et cp que sont – ils devenus maman, alors je voudrais tellement lui faire plaisir que j’aimerai pouvoir prendre contact avec Jordan votre fils. en espérant que vous prendrez mon message en considération cordialement CATHY BRUNA (maintenant nous sommes revenus dans notre village natal Le Beausset (83) merci
Bonjour Cathy, c’est Jordan le fils de Christophe, je viens de votre message, je vous donne mon mail si vous voulez que l’on parle ensemble juanito89@hotmail.fr a bientot
Je n’ai eu ce message que maintenant je t’ai écrit sur ton adresse maïl bises Cathy