Léo, Maud, Alfred Simonnet, Blandine et Karl
Par Alain Vollerin
Qu'allais-je découvrir après avoir franchi la porte de l'appartement salon de coiffure animé par Maud, Karl et Léo du 16 de la célèbre rue des Archers, où le critique d'art Marius Mermillon et le peintre Antonin Ponchon animèrent une galerie influente dans l'entre deux-guerres ?
Un public jeune et branché, souvent des clients du salon célébrait Alfred Simonnet, artiste peintre qui reconnaît avoir beaucoup puisé dans l'œuvre de précurseur de notre regretté ami Pierre Jacquemon qui fut l'un des rares artistes lyonnais capables de s'installer à New York. Alfred emprunte à Jacquemon cette matière en épaisseur qui rappelle certains murs de banlieues pauvres du Bronx. Jacquemon avait eu le génie de la traduire dans des ors, des argents qui ajoutaient beaucoup à l'ambiguïté de sa démarche nourrie d'un symbolisme particulier avec des soleils éteints, des planètes floutées, des cartes astrologiques phantasmées. L'ensemble chez Jacquemon s'exprimait dans une manière abstraite qui lui valut le soutien et l'admiration de notre ami le critique d'art René Deroudille. Alfred Simonnet connaît bien l'histoire de l'art. Il recueille là un certain nombre de gestes picturaux. On pense aussi au niçois Arman, ce Nouveau Réaliste qui lui aussi vécut longtemps à Manhattan. Comme lui, Alfred accumule de larges touches où le bleu, le rouge, le jaune émergent du magma argenté. Il s'envole sur les ailes de la Modernité avec un peu de retard, cela donne à ses œuvres une coloration surannée, comme surgissant de cette époque lointaine (les années soixante ) où l'on croyait que l'avenir des machines et des robots devait être traduit aux couleurs de l'argent et de l'or. Les toiles d'Alfred Simonnet sont agréablement décoratives. Elles méritent d'orner le salon d'amateurs nostalgiques d'un passé révolu.
Jusqu'au 17 décembre
Appartement 16
16, rue des Archers – Lyon 2eme
04 72 56 16 10
alfred et ,pierre et claudine jacquemon se sont rencontrés lors d’un souper. Au fil des années une vraie relation s’est établie. Alfred allait de temps en temps à l’atelier de pierre avant d’aller souper avec lui et claudine, en ami. D’une façon extraordinaire et inimaginable, le travail de pierre, les quelques toiles posées à l’atelier, sa tendresse, les propos tenus sur new york allaient irrémédiablement changer la vie d’alfred SIMONNET. Une transmission spirituelle à la mort de pierre JACQUEMON s’est opérée d’ou des oeuvres jaillissantes de symbolismes et de poésies « jacquemonniènnes ».
j ‘ai pu rencontré alfred SIMONNET au marché de la création. L’artiste modeste et simple nous a parlé de sa vision de l’art, de son univers imprégné de BRADBURY et du souvenir de pierre JACQUEMON. Sa peinture nous a touché ainsi que l’artiste.
nous avons le plaisir d’avoir rencontré et conversé avec le peintre Alfred SIMONNET. Sa démarche, ses toiles imaginaires, l’aspect métalliques de ses oeuvres nous ont emballés. bravo à l’artiste
sculpture sur toile….quelle originalité….quelle créativité….et quelle tecnique. La peinture du peintre alfred simonnet est tout en épaisseur.Reflet métallique toiles nuancées….nous ont plongés dans un univers qui ressemble au notre….On a craqué et on a acheté….la superbe toile est dans notre salon…..merci
oui alfred simonnet est quelqu un de simple…pas une personne que vous critiquez amèrement par un de vos autres « journaliste »dans un autre article……si avoir de la reussite c’est avoir du piston moi j appelle cela une reflexion de jaloux , je crois que ce fameux journaliste qui d’ailleurs signe d’un pseudo, ferait bien d’aller faire un tour dans son atelier, sa tanière comme il ‘appelle….et de rencontrer l’artiste dans sa nudité……ce n’est pas bien d’ecrire sur des gens que l’on a même pas eu la peine de rencontrer….et après on a le droit d’aimer ou pas..effectivement