Texte : Françoise Petit – Une table dressée comme un banquet de chasseurs d’émotion… Jacqueline Roucou ne cachait pas sa joie de recevoir ses proches à Antibes chez Mamo Michelangelo.
Fin octobre, la star c’était elle, à en oublier les célébrités fréquentant régulièrement ce spot azuréen de la cuisine italienne. Jacqueline aime les lieux inspirants dans lesquels elle se sent tout simplement bien. Impossible de faire le deuil de son histoire singulière auprès d’un père qui a contribué à l’aura gastronomique de Lyon.
La Mère Guy, où Roger Roucou officiait, accueillait notables, fripons, politiques, artistes de la trempe d’un Dali ou d’un Mesrine ayant en commun la vénération du gratin d’écrevisses du chef étoilé. Pause gourmande, pour le premier entre Cadaqués et Paris, sursis pour le second ignorant qu’il serait quelques jours plus tard dans le viseur du commissaire Broussard !
Trois chefs MOF à table
Le lendemain dimanche, changement de décor rendez-vous at home au Canet des Maures au prétexte des dix ans de mariage du couple Roucou-Pagès. Après les agapes de la veille, Jacqueline et Yves invitaient à un déjeuner esprit sortie de messe avec pas moins de trois MOF sous le même toit dont Jean-Marc Tachet.
Ce globe-trotter des saveurs (consultant international) signait en cuisine la carte anniversaire fort de ses souvenirs de commis à 14 ans chez la Mère Guy. Au menu ? Du bonheur dans chaque assiette, puis, une recette culte ; le poulet de Bresse crème aux morilles dégusté aux cotés de deux chefs charismatiques et si attachants Pierre Orsi et Christian Bourillot.
En ce week-end d’octobre au soleil du Sud, Jacqueline rayonnait encore de ses qualités de cœur, de générosité et de sincérité.


















0 commentaires