Jean-Louis Manoa. Le viking met les voiles

6 avril, 2011 | INDISCRETIONS | 0 commentaires

 

jean-louis-manoa-peche.jpg Le viking aura bientôt du temps pour la pêche – Photo © Fabrice Schiff

 

Par Marc Polisson

Roulerait-il déjà à tombeau ouvert vers Val d’Isère ? Nous n’avons pu joindre Jean-Louis Manoa et Pascale Ponsonnet ce matin, mais Le viking aurait signé deux compromis de vente. L’un pour les Planches et l’autre pour Paul’O.

Une page est sur le point de se tourner à Albigny que Jean-Louis Manoa aura marqué pendant 10 ans de son empreinte avec les Planches, devenues au fil de ses mardis, un lieu très prisé de la lyonnitude festive. Selon nos informations, le viking aurait cédé le mur et le fonds à Luc Reversade, un restaurateur savoyard qui a traîné ses fonds de culotte avec Jean-Claude Caro et Jean-Paul Lacombe à l’école hôtelière de Grenoble avant de faire de Val d’Isère son fief gastro-festif. Associé à l’ex Endemol Stéphane Courbit (repreneur récent des Airelles et du Chalet de pierre à Courchevel), Luc développe à vitesse grand V ses Folies douces dans les plus belles stations alpines. Mais c’est un autre concept qui devrait voir le jour aux Planches, rebaptisées La plage blanche. Un resto chic confié à son fils Arthur qui devait être inauguré au début de la saison printemps-été 2012. Les Planches, ancienne formule devraient donc vivre cette année leur dernier été, ce qui permettra à Jean-Louis Manoa d’accompagner les repreneurs quelques mois encore.

D’une pierre deux coups. Dans le même temps, Jean-Louis aurait vendu sa participation majoritaire dans la guinguette Chez Paul’O à Vernaison. Comme il l’avait déjà fait pour le Plato, le viking laisserait à son associé, le chef Benoit Toussaint la conduite de cette belle affaire, tout en restant à ses côtés une grosse année encore. Et après ? On imagine mal Jean-Louis Manoa se désengager totalement de la restauration. Il conserve son bébé, le Mercière, qui devrait subir un petit lifting l’hiver prochain. On l’a également vu l’an dernier à Shanghai en pleine discussion avec des investisseurs chinois, mais on peut également l’imaginer derrière le bar d’une plage de copains à Ibiza. Un trip dont il rêve depuis la vente du Sun 77 à Saint-Tropez. Seul bémol à ces rêves d’expatriation, le jeune âge de son fils Paulo dont il ne souhaite pas s’éloigner. Reste encore le consulting, comme le pratique Eric Obeuf depuis sa retraite du Sofitel. A moins que ça ne se termine par un petit spot de copains pour lesquels le viking enfilerait de nouveau son tablier. Et repasserait derrière les fourneaux, sans stress et sans tableau de bord. La vraie vie, quoi !

 

 

 

 

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