Antoine Perragin vient de « tirer sa révérence ». Trop tôt, beaucoup trop tôt ! Je me souviens des réunions dans son bureau du Palais des Congrès de Lyon, lorsqu’il plissait les yeux, signe que la vie l’amusait.
Antoine Perragin vient de « tirer sa révérence ». Trop tôt, beaucoup trop tôt ! Je me souviens des réunions dans son bureau du Palais des Congrès de Lyon, lorsqu’il plissait les yeux, signe que la vie l’amusait.