Dix ans après son départ de Lyon, Juninho est de retour aux affaires du côté de l’Olympique Lyonnais.
Dix ans après son départ de Lyon, Juninho est de retour aux affaires du côté de l’Olympique Lyonnais.
Ardent défenseur de la forêt amazonienne où vit son peuple kayapo, le cacique Raoni est venu proférer un message de paix, dans les salons de l’Hôtel de Ville, avant d’être décoré de la médaille de la Ville de Lyon par Gérard Collomb.
Au terme d’un match appliqué, le Français s’est défait du jeune Félix Auger-Aliassime en deux sets (6-4,6-3), devenant au passage, le deuxième tricolore à remporter le tournoi lyonnais, après Jo-Wilfried Tsonga en 2017.
Le Français n’a laissé aucune chance à Taylor Fritz, pourtant considéré comme
l’homme en forme dans ce tournoi.
Entre surprises, désillusions et grosse performance, il fallait être présent dans les travées du court central, ce jeudi, pour admirer sous une ambiance rocambolesque, les prestations des derniers représentants français.
Sous une bonne ambiance et une météo enfin au beau fixe, le public a bénéficié de tous les ingrédients pour voir du beau tennis.
Trois Français foulaient la terre battue de l’Open Parc lors de cette troisième journée, marquant la fin du premier tour.
Prodige annoncé, l’ancien international a connu des hauts et des bas du côté du stade de Gerland.
Quarante-quatre ans après sa dernière apparition sous le maillot rhodanien, Fleury Di Nallo, demeure, avec 222 buts, le meilleur buteur de l’histoire de l’Olympique Lyonnais.
Attendus au village VIP pour la player party, les Français ont surtout répondu présents sur la terre battue du central, malgré une journée en partie perturbée par la pluie.