L’année 2017 débute sous les meilleurs auspices pour le président de l’OL. Jean-Michel Aulas a vu son nom cité parmi les personnalités distinguées dans la promotion du nouvel an.

L’année 2017 débute sous les meilleurs auspices pour le président de l’OL. Jean-Michel Aulas a vu son nom cité parmi les personnalités distinguées dans la promotion du nouvel an.
La paroisse Saint-Joseph des Brotteaux a connu une bien curieuse agitation ce jeudi, dans l’après-midi. Elle s’est en effet, retrouvée encerclée par deux brigades de la mission vigipirate, secondées par un véhicule de la police nationale.
Les nombreux accidents survenus ces derniers mois, dont celui occasionnant la mort d’Anne-Laure Moreno, ont convaincu la préfecture d’introduire de nouvelles mesures de sécurité.
La magie de Noël, la ville de Lyon y goûte avec parcimonie si l’on en croit le classement des dépenses consacrées aux illuminations du 24 décembre. Sans surprise, Paris trône au sommet de la hiérarchie, légèrement devant Nice. La capitale des Gaules n’est elle, que 9e.
L’ancien Premier ministre va exposer les opportunités offertes aux PME et PMI dans un contexte politique et économique marqué par le Brexit et l’élection de Donald Trump.
Contrairement à leurs homologues parisiens, les Lyonnais ne connaîtront qu’un seul épisode de circulation alternée. Le pic de pollution s’étant réduit, la préfecture a annoncé, ce vendredi, la fin de cette mesure écologique.
L’édition 2016 de la Fête des Lumières marque d’ores et déjà une première dans l’histoire de ce rendez-vous culturel. Fait unique, un état étranger, en l’occurrence le Maroc, participe en tant que partenaire institutionnel.
Le sénateur-maire de Lyon, Gérard Collomb a accueilli le Prince Albert II de Monaco et le Premier ministre, Bernard Cazeneuve pour le lancement de la Fête des Lumières.
En raison d’un épisode durable de pollution atmosphérique, le préfet du Rhône, Michel Delpuech, a annoncé, ce mercredi, l’instauration d’une circulation alternée sur Lyon et Villeurbanne, ce vendredi 9 décembre, dès 5 heures du matin.
« Il quitte la scène comme il l’a occupée: la cravate de travers, flottant dans des habits trop grands », écrit Alexis Brézet, directeur des rédactions du Figaro, dans un édito sanglant à l’encontre de l’actuel Président de la République.