Le voici enfin. L’épisode 7 à la fois tant attendu et tant redouté d’une saga bientôt âgée de quarante ans. « Star Wars ». Ou comment faire frissonner bien des catégories de spectateurs en deux mots.

Le voici enfin. L’épisode 7 à la fois tant attendu et tant redouté d’une saga bientôt âgée de quarante ans. « Star Wars ». Ou comment faire frissonner bien des catégories de spectateurs en deux mots.
Le regard rivé sur l’horizon, assourdi par le fracas des roues du train dans lequel il se trouve, Jim Donovan voit l’impensable. De jeunes allemands tentent de passer le mur séparant Berlin Ouest et Est. Ils s’unissent pour grimper mais sont abattus par les forces militaires.
Avec son casting trois étoiles, son réalisateur sous perfusion spirituelle, son équipe technique réunissant les plus grands et Hollywood comme terrain de jeu pour toute expérimentation mentale et artistique, il y avait peu de chances d’être déçu.
Je suis assez fier d’avoir découvert, Arthur Metz, 27 ans. Car, sa peinture n’a rien de séducteur. Depuis 2015, il est inscrit à l’école des beaux-arts de Karslruhe. Mais, pour Arthur Metz, tout a commencé, en 2009
Marie-Thérèse Bourrat, j’aime le répéter, est avec le sculpteur Geneviève Bohmer, une des dernières incontestables artistes de dimension nationale vivant, et créant dans notre ville. Cette exposition est conçue comme un voyage.
« Des collages pour les oiseaux de Prévert ! », Je suis certain que le poète comme l’artiste me pardonneront ce jeu de mots sans doute un peu facile, eux qui tout au long de leur vie n’ont cessé de jouer avec les mots comme avec les images.
Mais qui était Albert Le Normand ? Cet excellent dessinateur (1915-2013) fut élève de l’école des beaux-arts de Lyon. Il poursuivit ses études à l’école nationale des beaux-arts de Paris, puis, dans l’atelier de Jean Souverbie dont on retrouve l’influence dans les prémisses de son œuvre.
Dans le cadre de Résonance, et donc, de la 13e Biennale d’art contemporain de Lyon, entre critique et célébration, Bernard Clarisse accroche de nombreuses œuvres récentes, à l’invitation d’Alain Vollerin.
Pourquoi, la population lyonnaise ignore-t-elle trop souvent son école de peinture, de sculpture ? Heureusement, Michel Régnier, adjoint à la Culture de la ville de Vourles, propose aux Lyonnais de renouer avec leur patrimoine artistique, ignoré par leurs édiles incultes.
C’est en 1962 (je crois) que j’ai découvert les collages de Philibert Charrin. Un émerveillement. Une révélation. Il les avait baptisés « Equivaucluses » parce que, disait-il, ils allaient plus loin que des « Equi-Valence ». Tout était dit.