« On a déjà des clients qui nous disent que c’est un enfer pour venir. Alors ils préfèrent se rendre dans notre boutique du 6e. Ça fait peur, on a que des retours négatifs. Ça va forcément se répercuter sur nos chiffres.

« On a déjà des clients qui nous disent que c’est un enfer pour venir. Alors ils préfèrent se rendre dans notre boutique du 6e. Ça fait peur, on a que des retours négatifs. Ça va forcément se répercuter sur nos chiffres.
Avec lui, “Monsieur Paul était plutôt cool.” Rien à voir, avec le Paul Bocuse de la cuisine. “Il était très gourmand, les après-midis, il aimait venir nous voir en pâtisserie, simplement pour goûter.”
“Un clin d’œil à mon orphelin de fils, qui perd son chef.” Paul Bocuse vient de mourir. Depuis l’océan Indien, un père envoie une pensée (émue), à son fils. Qui plusieurs années après, en conserve une émotion intacte.
Le Comité Français d’Histoire de l’Art (CFHA), l’Institut National d’Histoire de l’Art (INHA) et le Laboratoire de Recherche Historique Rhône-Alpes (LARHRA) organisent le 36ème congrès du Comité International d’Histoire de l’Art (CIHA)
Parmi la jeune génération, il est le plus capé. Le fruit d’une rencontre. “Ma grand-mère prenait des cours de cuisine, avec le chef, Christophe Muller. Un jour, je l’ai rencontré, par simple curiosité : il m’a incité à l’appeler, si j’en ressentais l’intérêt…”
La salle de sport va ouvrir très prochainement au niveau de la place de la République dans un grand local vide depuis quatre ans.
Surfant sur la réussite de leurs restaurants, Antonio et Marco Morreale se lancent dans un nouveau défi : ouvrir un glacier sur la rue Grenette…
“Mon rituel ? Travailler le 1er janvier pour souhaiter une bonne année à Monsieur Paul, et surtout, pouvoir lui faire la bise…”
L’Auberge de Collonges ? Un rêve depuis son Alsace natale. À Roderen, petit village d’à peine mille personnes, proche de Mulhouse, le p’tit Max – déjà grand, par la taille ! -, s’imagine dans le milieu de la restauration.
Propulsé chroniqueur récurrent pour LCI, le Lyonnais voit son quotidien alimenté par la guerre en Ukraine, dont il épie les moindres avancées.