Une
inauguration qui tourne au Diesel !

En ces temps de vache maigre, l'inauguration de
la boutique Diesel faisait office d'oasis
salvatrice pour les inconditionnels des
pince-fesses ! Cerise sur le gâteau, les
organisateurs avaient décidé de prolonger la
fête dans le jardin du Palais saint Pierre,
exceptionnellement ouvert en soirée pour
l'occasion ! Un after qui a eu bien du mal à
démarrer...
Rien à redire sur le cocktail de début de
soirée, orchestré par les RP Laurence et
Sophie. Petits fours et champagne à
discrétion. L'occasion pour Lyonpeople de
visiter la boutique et de recevoir les doléances
des uns et des autres (tant que ce ne sont pas
des condoléances...). Au menu : petite piquouse
d'art contemporain administrée par Patricia
et Olivier Houg ; déroulé de l'agenda
surbooké de Philippe Réjany (Cannes,
Monaco et Corée) qui exhibe son Quo Vadis
gainé de cuir, clin d'il complice à Jacques
Haffner qui s'amuse à jouer les vamp
mystérieuses...
A
deux pas du rayon jean's (des pièces à 1000 F
l'unité qui font jazer l'assemblée) Glady's
et Gilbert jouent pattes de velours
pendant que Nico vend sa sauce à Marie
Roussille. Jean-Luc Very et Cie nous
rappellent fort opportunément à l'ordre (de
parution). Quant à cousin Hub, il nous
pardonne d'entrée nos facéties de gosses mal
élevés (voir
gag).
Pressés de gagner la sortie, nous nous défoulons
sur Jean-François Bourrec pour non
accointance avec la maison Otis.
Sur ce, nous enchaînons sur le Palais Saint
Pierre où a lieu la seconde partie de soirée.
Les cerbères postés à l'entrée, plus habitués à
opérer dans les stades ou sur les concerts d'Iron
Maiden n'ont pas vraiment les manières... En rangs
par deux, carton obligatoire... Les invités sont
priés de patienter une demi-heure sur le
trottoir (heureusement qu'il ne pleut pas !)
avant que les portes du palais ne daignent
s'entrouvrir ! La raison de ce retard ? La
société événementielle (descendue de la
capitale) était occupée à brieffer les hôtesses
chargées de... distribuer des sucettes aux invités
!
Le
jardin du Palais Saint Pierre en a pris pour son
grade. Des ballons de fête foraine, deux
consoles de jeux, pêche à la ligne et un DJ
esseulé... La branchitude parisienne au sommet de
son art...
Quant au buffet, c'est pastis, pastis
ou pastis ! « Un Ricard sinon rien » le
célèbre slogan publicitaire a manqué se
retourner contre ses auteurs... Avant que
l'organisation ne se décide à sortir gin et
vodka...
A
suivre, M Lyon : le retour des beaux
jours ?
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