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29 juillet 2003

 

Charles Millon, le calice jusqu'à l'hallali !



 

En cette période de sécheresse informative, la dépêche de l'AFP a fait glousser dans les rédactions lyonnaises. L'ancien ministre de la Défense a été condamné à deux mois de suspension de permis de conduire et 300 euros d'amende par le tribunal correctionnel de Belley (Ain) pour conduite en état alcoolique, a-t-on appris de source judiciaire.

 

Le 28 juin dernier, Charly avait perdu le contrôle de son véhicule à Magnieu (Ain) alors qu'il regagnait sa propriété de Massinieux, et terminé sa course dans un fossé. Les gendarmes l'ont alors fait souffler dans le ballon, l'éthylomètre révélant un taux d'alcool de 0,47 milligramme alors que la limite délictuelle est fixée à 0,4 milligramme.

 

Cette nouvelle affaire intervient après l'incarcération de Jean-Jacques Debout. Le mari de Chantal Goya a fait récemment la connaissance du quartier VIP de la Santé après une condamnation similaire. Charly a eu plus de chance : le Parquet avait demandé, lors de l'audience du 24 juillet, 15 jours de prison avec sursis, 1 500 euros d'amende et quatre mois de suspension de permis.

 
Selon des proches de Millon, ce dernier n'aurait bu que deux verres et demi à l'apéro. Ce qui est « peanuts » pour un homme connu pour son penchant immodéré pour la tisane... (voir interrogatoire). On aurait pu penser qu'ayant reconnu son ancien ministre et vu la relative gravité des faits, le gendarme de service le laisse repartir ni vu, ni connu. Que nenni ! Aujourd'hui, se payer « un puissant » est devenu le dernier hochet à la mode chez les juges comme chez les forces de l'ordre...


 


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A suivre, Carpentier et Méhu remettent le couvert !
 

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