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      Quand vous n'êtes pas sur un champ de course ou accoudé à un comptoir, 
      quels sont vos autres hobbys ? 
      
      Je n'en ai pas. 
      
        
      
      Ce qui est sûr, c'est que le shopping n'en fait pas partie... 
      
      A si ! Mais bon ça c'est banal. 
      
        
      
      C'est vrai que vous n'êtes pas un dandy Daniel, au niveau 
      vestimentaire, ça ne vous a jamais... 
      
      Non, ça serait mal placé. Je pense qu'il faut s'habiller avec son âge.  
      
        
      
      A votre âge, vous pourriez être habillé plus chic ! 
      
      Non mais je suis habillé chic, je peux vous dire que c'est très très chic, 
      mais c'est du passe-partout.  
      
       
      
      Certains prétendent que...
      
      Pourquoi vous dites toujours les 
      autres ? « Certains », « les autres ». Assumez ! (Rires)
      
        
      
      Certains prétendent que vous avez déjà pris votre retraite ! Quelle est 
      la journée type de Daniel Perez ? On sait déjà que tous les mardis, vous 
      déjeunez chez maman... 
      
      Il y a un an et demi, je souffrais beaucoup des jambes, c'était banal mais 
      je m'étais fait un monde dans ma tête, j'avais donc décidé de ne pas 
      travailler le matin. Mais j'ai repris mes habitudes, je vais travailler le 
      matin à 10H00. Alors, je me lève à 8H. 8H-10H: lavage, graissage etc... 
      Voilà ! Et 10H-12H : courrier, manger et l'après midi : radio.   
      
        
      
      Disposez-vous encore de quelques amis qui supportent vos coups de 
      gueule et vos rodomontades ?  
      
      Non, non, ça c'est encore une fausse image. C'est vrai que je parle fort 
      et parce que je pense que j'ai un problème d'oreilles, parce que quand on 
      fait de la radio, on l'écoute fort ! Non, j'suis une grosse gueule, point 
      ça s'arrête là.    
      
        
      
      Qui sont-ils ? 
      
      Philippe Vorburger est mon ami... 
      
        
      
      Albert Artiacco n'en fait plus partie pour le moment. Vous êtes fâché 
      pour cause d'écarts de langage à répétition... 
      
      C'est exact. Non, je ne vais pas vous raconter l'histoire. A partir du 
      moment où c'est moi qui ai tort, je ne vais pas m'en rajouter un clou. Un 
      jour ça c'est passé aux Halles de Lyon, j'avais bu un peu de canon que je 
      ne supporte pas et je lui ai dit une connerie. Je regrette amèrement. Lui, 
      il l'a mal pris, c'est vrai ! 
      
        
      
      Il vous a abandonné toutes ses parts en 1994... 
      
      Non, il ne nous les a pas abandonné, on 
      lui a racheté.  
      
        
      
      ...Oui mais pour rien ! Un beau geste d'abnégation.  
      
      Mais dés le départ, c'était prévu ainsi ! C'est tout à son honneur de 
      l'avoir fait mais il ne les a pas abandonné et on lui a payé le prix 
      convenu, point à la ligne.  
      
        
      
      Acceptez-vous ce soir de lui présenter publiquement vos excuses ? 
      
      Oui oui oui, absolument. Ca reste mon ami. Oui, totalement. Et je regrette 
      de lui avoir fait de la peine, parce que je lui ai fait de la peine.   
      
        
      
      Et Jean Marc Requien, fait-il toujours partie de vos amis ? 
      
      Ah, je l'aime beaucoup. Parce que c'est un type de talent ! Il est chiant 
      mais je l'aime beaucoup. Il est aussi chiant que talentueux. Je crois 
      qu'en définitive, c'est un mec assez égoïste et exclusif. Mais c'est un 
      mec qui n'a pas besoin de mes compliments.    
      
        
      
      Tout le monde s'attache à reconnaître vos qualités de cur, d'amitié, 
      mais c'est vrai que vous avez quand même une drôle de façon de l'exprimer, 
      de le montrer !  
      
      Quand j'aime les gens, je les insulte. Non mais c'est connu ! Philippe (Vorburger 
      NDLR) que j'adore, quand j'ai envie de le faire chier, je le traite de 
      « con » ! Mais c'est totalement faux ! Mais parce que, quand j'aime les 
      gens, je les traite de « con ».     
      
       
  
      Suite de l'interview
       
        
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