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Dans le palmarès des
100 fortunes de la région établi à l'été 2003 par nos confrères du Nouvel
Objectif Rhône-Alpes, on ne trouve que deux entrepreneurs de la presse :
Paul Dini (200 M) qui a vendu en 1992 la Comareg - société mère du
69 - à Havas pour 1 milliard de F. , suivi par l'ancien patron du Progrès
Jean-Charles Lignel avec 57 M. Si le mensuel avait basé son
classement sur le seul département du Rhône, on aurait certainement pu
découvrir dans le top 100 les noms de Fernand Galula et de
Daniel Perez. Le premier a vendu « Les Petites Affiches Lyonnaises »
et nous déclarait en février 2004 un portefeuille de 6 M après impôt sur
les plus values. Quant au fondateur de Scoop, sa radio - n°1 des radios
musicales à la barbe d'NRJ - a réalisé un CA de 5 M en 2003. Avec un
résultat net de 15%. Avec sa dizaine de fréquences réparties sur toute la
région, Daniel est assis sur une mine d'or. Il le sait. D'autres, moins
chanceux ou plus jeunes, rêvent de conquérir Paris avec le secret espoir
de le dépasser un jour.
Jean-Charles
Mathey
Président du directoire NRJ Groupe
41 845 / mois
Ce fidèle de Baudecroux a démarré chez Radio Scoop comme commercial avant
de rejoindre la structure commerciale d'NRJ où il a réalisé l'essentiel de
son parcours professionnel.
source : magazine
Stratégies
Daniel
Perez
Directeur de Radio Scoop
7 692 / mois
C'est la salaire que
nous a déclaré le fondateur de la première radio musicale lyonnaise. Mais
sa fortune est tout autre. (voir plus haut)
source :
interrogatoire à KGB du 20 mai 2003
Philippe Brunet-Lecomte
Directeur du
groupe Lyon Mag
3 850 /
mois
Ce fils de bonne
famille a toujours joué la transparence concernant ses émoluments. La
rémunération affichée ci-dessous est celle annoncée dans ses documents
boursiers.
source : Lyon Mag
Nicolas Winckler
Directeur de Lyonpeople.com
3 500 /
mois
Aimerait Gagner plus !
source : Lyon
People
Charles Couty
Directeur de radios
2 500 / mois
Le fils de Jean Couty est l'actionnaire actif d'une demi-douzaine de
sociétés et de radio (ODS en Savoie et Hit&Sport à Lyon) et préfère
laisser systématiquement les bénéfices dans ses entreprises afin de les
pérenniser.
source : Hit & Sport
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