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/ LES INTERROGATOIRES SUR LE CARO


20 mars 2006


 

Vous intégré ensuite l'université lyonnaise...

J'ai fait deux années de philo donc un Deug. J'ai obtenu mon Deug de Philo et j'ai suivi les 5, 6 premiers mois de licence mais je en suis pas allé au bout.

 

Avant d'obtenir le diplôme de l'Ecole hôtelière de Genève. On voit mal le rapport...

Dès l'âge de 16, 17 ans, pour gagner ma croûte, je me suis retrouvé serveur en extra à droite à gauche. Mon premier job a été serveur chez Pizza Pino sur les Champs Elysées ! Je gagnais donc ma croûte et puis mon père était assez radin sur les pourboires mensuels ! Quand je me suis retrouvé en fac sur Lyon, j'ai continué à faire des extras dans la restauration et notamment rue Mercière. Ma destinée était d'être prof de philo et, pendant mes études je me suis retrouvé à faire des extras dans la restauration.  

 

Et ça vous a vraiment plu ?

Il y a eu un concours de circonstance. Je me suis retrouvé en année de licence où j'ai rencontré la mère de mes enfants qui était en Deug de Langues. On a décidé de se marier très vite : j'ai du la rencontrer en mars et on s'est marié en juillet de la même année ! J'ai donc abandonné la licence de philo et je me suis mis à plein temps comme serveur au Mercière chez Jean-Louis Manoa.

 

Vous avez débuté votre carrière comme serveur au Bistrot de Lyon puis chez Manoa...

Jean-Claude Caro ne s'en souvient pas. Il n'y avait qu'un restaurant à l'époque qui était non seulement un restaurant branché mais aussi de qualité c'était le Bistrot de Lyon. Il y avait également le Mercière. La rue Mercière était la rue où les Lyonnais se déplaçaient et se rendaient pour sortir le soir. En 1988, je me retrouve associé avec Jean-Louis Manoa sur le Mercière mais on ne s'entend pas sur la manière de travailler.

 

C'est alors que vous décidez de voler de vos propres ailes.

Je me retrouve en 1991, au décès de mon papa qui meurt d'un cancer des poumons, à toucher une certaine somme d'argent... qui n'est pas celle du tout que les gens pensent que j'ai touché puisque mon père était un simple salarié basique. Mais je touche une somme qui m'a permis effectivement d'acheter un restaurant complètement quelconque rue Mercière. Notamment à côté du Mercière et du Bistrot de Lyon, j'avais donc un emplacement terrible. J'ai donc exploité ce restaurant tant bien que mal, c'est-à-dire avec peu d'expérience notamment en gestion et je me suis retrouvé très vite sur le carreau !


 

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