C’est en 1962 (je crois) que j’ai découvert les collages de Philibert Charrin. Un émerveillement. Une révélation. Il les avait baptisés « Equivaucluses » parce que, disait-il, ils allaient plus loin que des « Equi-Valence ». Tout était dit.
C’est en 1962 (je crois) que j’ai découvert les collages de Philibert Charrin. Un émerveillement. Une révélation. Il les avait baptisés « Equivaucluses » parce que, disait-il, ils allaient plus loin que des « Equi-Valence ». Tout était dit.