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/ LES INTERROGATOIRES à KGB 


 

 

A 10 ans, vous étiez plus doué pour faire des « dérapapages » au volant de la 4L fourgonnette familiale qu'avec une règle et un stylo...

Comment vous savez ça ? Oui effectivement, des «dérapapages» (rires) Je suis surpris que vous sachiez cela! Dès l'âge de 3 ans je faisais des « dérapapages » avec mon petit vélo ! Et effectivement dès l'âge de 10 ou 11 ans avec la 4L fourgonnette, avec les vitesses au tableau de bord, j'arrivais déjà bien à la faire glisser.

 

Vous étiez très impliqué dans l'élevage familial de Saint Bernard. Aujourd'hui, vous n'avez plus le chien mais on vous a gardé le tonnelet...

Je ne m'en rappelle pas j'étais très petit, mais j'ai vu des photos et des films quand j'étais tout bébé dans mon berceau, mes parents pouvaient me laisser tranquillement avec les chiens et aller travailler. J'étais entourée de Saint Bernard qui, à priori me gardaient et personne ne pouvait m'approcher.

 

Aujourd'hui, vous avez un chien ?

J'ai acheté un chien à ma fille, mais malheureusement, avec la vie que j'ai je ne peux pas en avoir, mais dès que je serai un peu plus posé j'en reprendrai un, mais que des gros!

 

C'est à cette époque que vous avez participé à vos premiers concours de beauté, ceux des chiens, pas encore les vôtres ?

Ceux des chiens! Je crois que l'on m'emmenait un peu malgré moi car j'étais tout petit. Mes parents faisaient trois métiers à la fois, ils avaient un élevage de chiens, ils étaient ambulanciers, et mon père s'était acheté son premier camion.

 

Pour reparler d'école, vous avez quand même passé votre CAP Mécanique ?

Oui, mais je ne l'ai pas fini! J'ai commencé par la carrosserie, et au bout d'un an, j'ai compris ! Comme on était dans le transport, j'ai fait un apprentissage de Mécanique Poids Lourds où j'ai travaillé dans la concession du coin, parce que mes parents ne voulaient surtout pas me laisser travailler chez nous ! Ils se sont dit : « Il va faire ce qu'il veut » ! Ils m'ont donc envoyé chez le concessionnaire du coin.

 

C'était votre premier vrai job hors karting ?

C'est surtout celui qui m'a fait dire : «sois bon dans ton métier parce que sinon tu vas rester là toute ta vie!». Quand tu fais un apprentissage, la première année tu la passes dans une fosse à faire des graissages, des vidanges, c'était affreux !

 

Vous découvrez le kart à l'âge de 7 ans... Est-ce en Espagne, où vous passez vos vacances chez le grand père ?

Mon grand-père, après la guerre, est parti vivre en Espagne et chaque été on allait en vacances chez lui. Effectivement, à coté de chez lui il y avait une piste de karting de location et c'est là-bas que ma sœur et moi-même avons découvert le karting, enfin elle avant moi.

 

Votre papa était lui-même pilote. C'est lui qui vous a donné le virus ?

Il a été pilote en amateur, en courses de cote, il faisait un peu de rallye. Il a donné le virus à ma sœur Cathy, et qui elle me l'a donné. J'allais tout simplement aux courses et je suivais. Ça c'est fait d'une manière naturelle.

 

A 8 ans, sacré champion de France de karting, vous montez sur votre premier podium.

Non, à 10 ans. Maintenant, on peut commencer à 8 mais avant on ne pouvait pas à l'époque. 10 ans, c'était mon 1er championnat de France.


 

Suite de l'interview