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/ LES INTERROGATOIRES SUR LE CARO


25 septembre 2006


 

On vous aurait reproché des relations un peu particulières avec des marchands de biens...

Au Crédit Mutuel ? Mais je n'avais pas de marchands de biens ! Ce sont des ragots ! Quand j'ai acheté la Tour Rose, je n'ai donné aucune interview avant la conférence de presse que j'ai organisée ! Pourtant je lisais régulièrement des articles où on disait ce que j'allais faire : un coup j'ai coulé la Tour Rose, un autre coup de transformais tout en appartement, etc... Le Bec n'avait pas donné suite au fait d'être exploitant, parce que j'avais décidé de doubler le loyer ! Informations que j'ai lues dans les journaux, qui d'une part montrent le fait qu'on lit et entend n'importe quoi et qu'en plus les gens qui l'écrivent n'ont aucune culture ! Donc là vous êtes entrain de me parler de choses qui ne tiennent pas la route. 

 

Vous rebondissez chez Feu Vert où l'un de vos amis vous propulse « Directeur du développement ». Quel était votre rôle exact ?

J'avais une équipe de neuf personnes qui avait pour rôle de trouver des sites d'implantation pour les centres auto, de trouver des franchisés et de sélectionner des personnes susceptibles de les exploiter, et ensuite totalement de les assister dans le montage complet de leur dossier financier...

 

Combien de temps êtes-vous resté chez Feu vert ?

J'ai dû rester un peu plus de deux ans et j'ai dû ouvrir 80 centres. C'est la plus belle période de développement que je n'ai jamais connue.

 

Pourquoi vous arrêter en pleine expansion ?

Car je prends la direction générale d'un groupe qui s'appelait Hydrostar (laveries haute pression) où je reste 6 mois.

 

Pourquoi l'affaire capote-t-elle si rapidement ?

Elle ne capote pas, c'est moi qui m'en vais. Parce que je découvre des trucs pas très nets. Six mois après : dépôt de bilan et conflit au tribunal entre le vendeur et l'acheteur. Moi je suis parti avant, le temps de m'apercevoir que ce n'était pas sain. Contrairement à ce que vous on indiqué vos sources, je suis un garçon extrêmement sain. Je ne fais pas de hold-up !

 

Comment rebondissez-vous ensuite ?

Je me retrouve directeur dans l'Auto Distribution à Lyon, le plus gros groupe en France, et il ne fait pas de bananes ! (rires)

 

Combien de temps dure cet épisode ?

1 an et demi. En fait, je quitte AD car le président de la région a besoin d'un point de chute et le point de chute c'est mon poste. Donc il me demande de partir. Pas parce qu'il n'est pas content, mais parce qu'il a besoin du poste pour lui-même et là je suis un peu fatigué de toute l'énergie qu'il faut dépenser dans une entreprise à l'intérieur même de l'entreprise. Je suis peu être un idéaliste, mais je pensais que l'énergie d'un collaborateur d'entreprise, devait être dépensée à l'extérieur de l'entreprise.

 

Nous sommes quand même frappés par une certaine instabilité au niveau de votre parcours professionnel ! 6 mois par là, 1 an et demi par là,...

C'est vrai que chez Pomona, je souffre du fait qu'il n'y ait pas de bananes ! Donc je ne reste qu'un an ! (rires) Insupportable une boîte sans bananes ! Ensuite, au Crédit Mutuel... pour bien monter le hold-up il faut du temps ! (rires) Je reste 10 ans. Chez Feu vert, je reste deux ans et demi à trois ans... Je vais appeler Le Bec pour lui dire : « T'as raison de t'être défilé ! Non seulement c'est chiant et en plus ils sont cons ! ».

 

On n'aurait pas cru qu'il était aussi facile de vous déstabiliser ! Nous nous contentons de vous rapporter les bruits qui circulent sur vous...

Mais ça s'appelle pas des sources, ça s'appelle des ragots ! Si je puis me permettre d'exprimer une petite opinion sur le journalisme en général, c'est qu'un journaliste a un devoir d'information et de vérification de ces sources... Il me semble que c'est dans leur chartre, avant d'en faire état de quelques façons que ce soit ! Donc je ne suis pas tellement instable !

 

C'est là que vous décidez de voler de vos propres ailes ?

Donc là je commence et je crée ma société de marchands de meubles, AGIMMO.

 

C'est par l'entremise de cette société (130 000 euros de CA en 2004) que vous avez racheté les murs de la Tour Rose... quel était le montant du chèque ?

Je n'ai pas fait de chèque. C'est un don... C'est l'association du défenseur de la banane perdue qui a décidé de me l'offrir pour service rendu chez Pomona ! (rires) Vous n'avez pas les comptes d'Agimmo quand vous allez sur le greffe ou plutôt vous n'en avez pas fait une analyse correcte. Agimmo a un très petit chiffre d'affaires seul, par contre si vous aviez son bilan, vous vous apercevriez qu' il y a des tas de société en participation qui lui amène des résultats beaucoup plus significatifs puisqu'Agimmo est la plupart du temps associée avec des partenaires dans le cadre de SEP.

 

C'est l'une d'entre elles qui a acheté la Tour Rose ?

Pas du tout, c'est Agimmo. Mais vous n'avez pas été surpris du résultat avec aussi peu de chiffres ?

 

J'ai surtout regardé le passif qui énorme, supérieur à votre actif...
Évidemment car les emprunts, quand je suis associé dans une SEP, ne sont officiellement que chez Agimmo.

 

 

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